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Thứ Tư, 23 tháng 5, 2012

Lettre à Thiên Kim. En guise d’épilogue de la Nouvelle : Les Oiseaux du Vietnam De Viêt Duong Nhân // Mây vẫn Còn Bay (Bút Ký )

 
Mère & fille
Lettre à Thiên Kim
En guise d’épilogue de la
Nouvelle : Les Oiseaux du Vietnam
De Viêt Duong Nhân

Chère Thien Kim,

Après lecture de la nouvelle Dan Chim Viet (Les Oiseaux du Vietnam) de ta mère, de l’auteur Viet Duong Nhân, j’éprouve cette impression que les récits naissent des négatifs provenant de l’esprit des amoureux des lettres. Dans toutes les histoires écrites de l’empreinte du vécu, au moins par leur auteur, de quelques lecteurs ou de ta mère, à la fin, il ressort inexorablement cette saveur poétique que j’appellerai ‘’poésie de la vie‘’, en marge de tout style littéraire : Inlassable espoir de respect mutuel et de solidarité entre les Hommes, que ce soit à l’étranger comme dans sa patrie. Au fond, toi Thien Kim, une des paire d’ailes de la bande d’Oiseaux du Vietnam, tu as donné à ta mère cette inspiration vertueuse dans la rédaction de la nouvelle Mây Vân Con Bay (ndlr : Les nuages continuent de voyager) qui a suscité chez les lecteurs tel que moi beaucoup d’émois. J’ai été émue devant cet amour maternel à la fois si naturellement inné, si beau et grandiose, bouleversée par cette mère aspirée par le tourbillon de la vie difficile qu’ont vécu les femmes réfugiées, obligées de combattre avec acharnement afin de gérer les multiples priorités quotidiennes pour en fin de compte hériter de cet inconsolable regret : ỡ mon enfant a perdu sa langue maternelle, le vietnamien !ữ. Probablement l’écrivain Viet Duong Nhân, ta mère, a juste regretté à moitié ces cinquante pour cent de part de métissage vietnamien qu’elle t’a transmise et pourtant sa douleur est déjà si grande ; Il serait inutile de parler de ces parents qui voient leurs enfants, les descendants du dragon vietnamien1, totalement déracinés. Cette rude réalité doit être certainement encore plus dramatique. Les enfants de ces compatriotes passionnés de leur pays, ne mangeant pas de nourritures vietnamiennes, ne parlant pas vietnamien, n’écrivant aucun mot vietnamien, s’ils peuvent atteindre des niveaux d’étude supérieurs ne peuvent au plus que devenir l’élite des intellectuels Anglais, Français, Américains, Allemands, NorvégiensẨ d’origine Vietnamienne ; alors que les Hommes accomplis ne souhaiteraient qu’être des intellectuels, l’élite vietnamienne expatriée dans leurs pays d’accueil. Quels exodes, quelles sont les expatriations qui ne sont pas sources de sacrifices et de perte ? Parmi les sacrifices, dans la vie d’une mère, en échange de la liberté et des besoins primaires, il y a le renoncement à son propre épanouissement mais surtout le sacrifice de l’éducation de ses enfants. Mais alors, en dépit de la perte même de cet ỡ esprit vietnamien ữ en échange du but prioritaire, ỡ l’avenir de la postérité ữ, ne reste-il en fin de compte, qu’un éternel regret ?
Chère Thiên Kim, toi et tes compatriotes, qui cherchent à découvrir votre langue maternelle, vous essayez, en réalité de vous approcher de vos sources. Ta maman fait partie de ces personnes amoureuses de leur patrie, lieu où vous avez vu le jour, lieu où son lait de mère est teinté de ce goủt de riz fermenté, parfois même gâté et mélangé à la fois à ces odeurs savoureuses de brisures de riz parfumé Tam Thom (brisure parfumée), Nanh Chon (de croc de fouine), Nang Huong (demoiselle parfumée) ; c'est l’endroit même où malheur et bonheur se côtoient. Je te remercie, chère Thiên Kim, ton âme est comme ces effluents du fleuve Cuu (Mékong) qui a contribué à apporter cette terre riche de bonheur à ta mère, à beaucoup d’autres personnes et parmi celles-ci, il y a moi. ; Tes capacités linguistiques en vietnamien, à partir de tes six ans, jusqu’à l’âge de trente quatre ans, ponctuées par des périodes interrompues puis difficilement renouées, à travers par exemple la seule phrase : ỡ je t’aime beaucoup maman !! ữ, usant des mots vietnamiens dont l’accent mal maîtrisé et qui t’est propre, ont suffi, pour être une poésie, en soi. Pour moi, elle devient un poème entier grâce à ces deux points d’exclamation (!!).
Quel bonheur, pour moi, d’avoir pu lire quelques uns de tes poèmes rédigés en français, chantant, harmonieux et dont les mots expriment pleinement ton amour pour les Hommes et pour la Vie. Ces vers sont exquis mais ne m’ont pas autant émue que tes paroles, celles dont tu uses pour souhaiter à maman une nouvelle année de bonne santé, année chanceuse et débordante de bonheurs. Tes vỵux, finalement, c’est l’autre façon pour désigner le rêve. Les vỵux de Thiên Kim dont la maîtresse Phuong Khanh a pu garder les traces : ỡ J’ai demandé à Kim pourquoi tu apprends le vietnamienẨ ữ Kim a répondu, j’étudie le vietnamien pour lire les livres que tu écris et je voudrais également savoir ce que tu y écrisẨ ữ. Merci à ces maîtresses et maîtres de langue vietnamienne à l’étranger, qui ont consacré beaucoup de temps, d’énergie et parfois même leur propre argent juste pour avoir le bonheur de lire les cahiers des écoliers : ỡ parle le vietnamien comme tu manges la soupe tonkinoise, comme tu manges des nems, aussi naturellement que l’amour que les mères vietnamiennes réservent à leurs enfants ữ. Même certains étrangers apprennent à parler et à écrire le vietnamien. Plus encore, certains traduisent les livres vietnamiens en langue étrangère. Ils traduisent même le Roman de ‘’Kim-Vân-Kiêu’’ de Nguyên-Du en allemand, en anglais, en français. D’autres vont à la bibliothèque François Mitterand pour trouver des écrits de Vu Trong Phung, non encore édités en livre ; Ces personnes vietnamiennes ou non n’appartiennent pas forcément à la catégorie des personnes maîtrisant bien notre langue ! Être ou ne pas être vietnamien consiste simplement en le désir de remonter à ses origines. Est-ce qu’en connaissant peu sa langue maternelle, il serait plus facile de négliger l’amour que l’on pourrait éprouver pour sa mère ? Je ne suis pas certaine qu’il en soit ainsiẨ Selon mon observation et mon expérience, il est plus sủr que les personnes ignorant leur langue maternelle ne pourront pas témoigner un amour solide et fidèle pour leur pays.
Chère Thiên Kim, parmi tes poèmes que j’ai pu lire il y a beaucoup, oui beaucoup de beaux vers, parce que ỡ la littérature est source d’union ữ, comme l’illustrent ces quelques vers :
ỡ Ẩ Nous nous aimons
C’est la seule loi
A laquelle nous obéissons
Et nous somme libres
De notre choix
Toi et moi,
Unis pour la vie !.. ữ
(Extrait de ỡ Je t’ai attrapé ữ de Kim Agnès Hiver.)
J’ai tenté de m’en sortir harmonieusement dans cette traduction, selon mon interprétation:
Nguyện theo một luật thuong yêu
Đời ta hòa hợp với nhiều tự do.
Chère Thiên Kim, en temps normal, j’aurais dủ écrire un épilogue pour le roman ‘’Les Oiseaux du Vietnam’’, à propos de la qualité littéraire ou pour parler de l’auteur, comme il en est de règle pour les fins de livres mais ta mère l’a déjà personnellement fait à travers le poème ‘’Mây Vân Con Bay’’. Les lecteurs ont pu observer, concernant ta mère, un amour évident pour son pays, le cri de douleur d’une personne accablée par cet éternel remords : ỡ Tu es mère, et ta fille ne sait pas parler ta propre langue. C’est vraiment regrettable ! ữ, mais tristesse allégée de ce bonheur ỡ Non, non. Je ne l’oublierai jamais Maman ! ữ. Ne pas oublier c’est avoir en mémoire ces bercés, ces paroles câlines d’une mère durant notre enfance, se souvenir des reproches et conseils de maman à l’occasion de toutes ces erreurs innocentes ou volontaires, durant la période d’adolescence. Ainsi, la meilleure façon d’aimer maman c’est d’aimer sa langue maternelle. Peut-être que Thiên Kim et certains d’autres n’avaient jamais partagé avec moi ces points de vue.
Cependant, je vous remercie tous et avant tout, je remercie mille précieuses fois à Thiên Kim Agnes Hiver. !
Nguyên Thi Vinh
Na Uy Oslo, au mois de Janvier de l’hiver de l’an 2004
Traduction en Français DANG Anh-Cuong-Romain 

***

Mây vẫn Còn Bay (Bút Ký )

Tác giả: Việt Dương Nhân

Bút Ký
‘’Tiếng Việt còn. Nước Việt còn...’’
Trời vào đông năm nay không lạnh lắm, nhưng sương mù lờ mờ và mây xám giăng giăng...
Xế trưa, ngày Lễ Giáng Sinh (25-12-2002). Tôi đem rác xuống sân bỏ vào thùng, sực nhớ hôm qua không lấy thư. Tôi đến mở hộp thư, thấy phong bì hơi dầy màu hồng, tôi nhận ra ngay tuồng chữ của Kim, đứa con gái lai Tây, tâm tánh rất hiền ngoan, năm nay được 34 tuổi. Tôi biết đó là thiệp chúc Giáng-sinh và Tết Dương-lịch của Kim. Tôi không lên nhà mà liền mở thư ra đứng đọc giữa sân :
‘" Jeudi 19 Décembre 2002
Ma chère Maman,
Con chúc Má một mùa Giáng Sinh vui vẻ và một năm mới 2003 hạnh phúc may măn (mắn) và dồi dào sức khỏe !
Con thương Má nhiều lắm ! !
Hẹn gặp nhau ở Ivry nay mai năm mới !
Con âm (hôn) Má nhiều !
Kim’’
(Thủ bút của Kim)
Tôi đọc xong mấy dòng chữ nguệch ngoạc trong tấm thiệp thật đẹp. Ôi ! Nỗi vui mừng của tôi lâng lâng không sao tả được. Tôi áp tấm thiệp vào bên ngực trái, nước mắt rưng rưng, nhìn lên không trung : ‘’Con tạ ơn Trời ! Tạ ơn Trời đã ban cho con của con biết nói và viết được chữ Việt...’’. Tôi nghe nhẹ lòng, tâm hồn bớt ray rức. Vì từ bấy lâu nay, tôi tự thấy hổ thẹn với lòng : ‘’Mình làm mẹ mà con mình không biết nói được tiếng của mình. Thật là đáng trách !’’.
*

Cách đây khoảng 15 năm, Kim có học chữ Việt với Cô Mai một thời gian rất ngắn, vì căn bệnh... tái phát nên Kim phải đành bỏ dở dang...
Năm rồi, một buổi trưa Chủ Nhật giữa mùa hè cây cỏ xanh tươi, ngàn hoa khoe sắc, nắng vàng tỏa sáng khắp nơi nơi. Kim về nhà ăn cơm với tôi. Bất chợt, Kim nói (bằng tiếng Pháp): ‘’Con muốn học chữ Việt. Má biết chỗ nào dạy không ?’’. Đúng lúc, tôi vừa nhận tờ Nguyệt San Nhân Bản, đọc thấy có đăng dạy tiếng Việt mỗi chiều thứ Bảy, từ 16 giờ đến 18 giờ, do Cô Phương Khanh phụ trách... Tôi đưa cho Kim xem, Kim liền ghi địa chỉ, ngày, giờ đàng hoàng. Rồi sau đó, Kim ráng rặng từng tiếng Việt nói chuyện với tôi...(...)
Lối cuối tháng 9, Kim đi ghi tên, đóng tiền. Và từ đó, Kim không bỏ buổi học nào. Từ hè đến giờ, Kim thường về ăn cơm với tôi vào trưa Chủ Nhật. Và, tôi có chị bạn thân, tên Marie-Colombe Bạch Thị Ngọc Sương có trình độ giáo-khoa khá cao nên Kim nhờ chị chỉ dạy kèm thêm. Theo ước tính của tôi, thì Kim mới học được 9 hay 10 buổi học gì đó ?... Mà tối hôm qua (1-1-2003), từ nhà Ba của Kim ở dưới Cannes (Côte d’Azure), Kim điện thoại về chúc năm mới. Kim vừa nói 2, 3 câu tiếng Pháp. Tôi liền hỏi bằng tiếng Việt : ‘’Ủa ! Con quên hết tiếng Việt rồi sao ?’’. Kim vội vàng đổi giọng, nói chầm chậm : ‘’Không, không. Con không quên đâu Má ơi ! Má khỏe không ? Má chơi đêm Giáng Sinh và tối qua có vui không ? Con chúc Má năm mới được vui vẻ...’’. Và sau đó, hai mẹ con tôi nói chuyện hoàn toàn bằng tiếng Việt... Chỉ câu cuối cùng là Kim nói : ‘’Au revoir et Chủ Nhật tới, con về ăn cơm với Má...’’. Xin quý vị và các bạn chia sẻ niềm vui này cùng với tôi !
Có những đêm nằm trằn trọc nhớ con, và nghe lòng buồn buồn, tôi tự than : ‘’Mình làm thơ, viết truyện mà con mình không đọc được những gì mình viết... !’’. Nhưng rồi cũng tự mình an ủi : ‘’Ở xứ người, phần nhiều những đứa con nít lớn lên, gần như hầu hết không nói, đọc được chữ Việt, vì cha mẹ bận rộn chuyện ‘’áo cơm’’... Nhưng... tôi lại nhớ đến Anh bạn... làm việc trong một bệnh viện ... tại Paris. Anh là ‘’gà trống nuôi con’’ từ thuở cậu con trai mới lên 5 tuổi. Nay cậu nối nghiệp cha, đang theo học ngành Y-khoa năm thứ 5, thứ 6 gì rồi. Anh bạn của tôi dạy cho con học, đọc, nói và viết chữ Việt đàng hoàng. Tôi rất khâm phục Anh... Cách đây, khoảng chừng 3 năm, tôi gặp cậu đi với cha, cậu chào và nói chuyện với tôi y như một thanh niên từ Việt Nam mới qua Tây. Vì không ai có thể nghĩ là cậu sanh và lớn lên tại Pháp. Còn Kim, con tôi sanh ở Sài-gòn, qua Pháp lúc 6 tuổi và nói thạo tiếng Việt đến 8, 9 tuổi. Sau này, có những lúc buồn, tôi ngồi bóp trán, lắc đầu tự hỏi : ‘’Vì sao, con tôi mất tiếng Việt ?’’. Tôi xin tạ lỗi cùng Tổ Tiên và Mẹ Việt Nam. Vì lúc đó (1978), cha Kim bỏ đi, tôi chỉ lo đi làm, rồi cuối tuần còn đi họp hội, hát hò văn-nghệ... Mỗi ngày gặp được con vài tiếng đồng hồ, xem bài vở sơ sơ, tôi để mặc tình con nói tiếng Pháp với tôi. Thật sự, sau này tôi giận tôi vô cùng.
Hồi mới qua Pháp, giữa năm 1976, tôi liên lạc được Ông Việt Định Phương, chủ nhiệm Tuần Báo Trắng Đen, tôi có viết cho Ông một lá thư, nhưng không ngờ Ông lại đăng hết lá thư ấy trong : ‘’Mất Quê Hương’’ Hồi ký của Việt Định Phương
. (Xin trích một đoạn...) ‘’... Nếu tôi mà có gặp người đó lại thì tôi gọi là ‘’thằng cha mất gốc không có cội nguồn...’’. Vì vậy mà tôi không nói tiếng Pháp với con tôi, và lớn lên tụi nó phải biết viết và đọc chữ V.N. để có đi đâu hay đi làm xa phải viết thơ bằng chữ Việt cho tôi đọc, mặc dù chữ Anh-Pháp, tôi cũng biết sơ sơ. Nhưng hy vọng con tôi viết thơ cho tôi bằng chữ Việt...’’ (Mùa Phật Đản 2520 Tuần Báo Trắng Đen Weekly Magazine số 11 năm 1976, trang 34).
Những năm gần đây, mỗi lần đọc lại trang báo đó, tôi tự thấy xấu hổ và thẹn với lòng. Vì lời nói với việc làm không đi đôi ! Nay, Kim đã nói trở lại tiếng Việt, và còn viết được chữ Việt, thì thử hỏi với quý vị và các bạn. Tôi không vui mừng sao được ?
Bữa hôm, tôi gọi điện thoại hỏi thăm Cô Phương Khanh, nói chuyện qua loa, rồi Cô cho tôi biết : ‘’Em hỏi Kim học tiếng Việt để làm gì ? Kim trả lời, học chữ Việt để đọc sách của chị và muốn biết những gì chị viết...’’. Tôi nghe Cô Phương Khanh nói lại, làm tôi vui lắm. Chân thành cảm ơn Cô Phương Khanh đã tận tình dạy cho Kim (nói riêng) và cho tất cả Học Sinh (nói chung) học tiếng Việt Nam mau hiểu, mau nói và viết... Và, tôi cũng không quên ơn Tổng Hội Sinh Viên Việt Nam tại Paris đã tổ chức ‘’Lớp Học Tiếng Việt’’ vào mỗi chiều thứ Bảy. Tôi hy vọng nơi đó sẽ thâu nhận Học Sinh càng ngày càng đông đảo thêm. ‘’Tiếng Việt là hơi thở của Mẹ Việt Nam. Xin đừng để cho Mẹ tắt thở...’’(Lời của Giáo Sư Vũ Ký trong ‘’Luận Cương Về Văn Hóa Việt Nam’’).
Đây là những lời chân thật, là nỗi vui mừng tận đáy lòng của tôi, là niềm vui của một người mẹ vừa được đứa con gái, tên Thiên Kim Agnès Hiver trao tặng một món quà tinh thần to lớn nhứt đời vào dịp Lễ Giáng Sinh, năm mới 2003 và Tết Nguyên Đán Quý Mùi.
Từ khi, tôi tập tành làm thơ, viết lách, tôi có lo nghĩ : ‘’Rồi đây không biết còn có ai trong gia đình mình đọc được và gìn giữ những gì mình đã viết... ? Chắc là phải đem gởi cho mây khói sẽ tan vào hư-không !’’. Nhưng nay, sự mong ước của tôi đã trở thành sự thật... Đêm nay, bên ngoài đầy giông bão, sấm chớp nổ vang rền. Còn trong nhà thì nghe se lạnh. Nhìn một khoảng trời xa thấy Mây Vẫn Còn Bay...
(Ivry-sur-Seine, đêm đông mưa gió 02-01-2003)
Việt Dương Nhân
***
Thư Gửi Thiên Kim
Nguyễn Thị Vinh
Thay Lời Bạt
Tập truyện "Đàn Chim Việt"
của
Việt Dương Nhân

*
Thiên Kim thân mến,
Đọc bản thảo Đàn Chim Việt của mẹ cháu, nhà văn Việt Dương Nhân, hầu như cốt truyện nào cũng mang hình bóng ít nhất một người làm thơ, dăm ba người ngâm thơ hoặc nhiều người thích thơ; truyện nào của mẹ cháu, nói cho cùng rồi cũng hướng tới một chất thơ, mà tôi tạm gọi là thơ của đời sống, nằm ở ngoài mọi chữ nghĩa: Mong sao con người được tôn trọng và cùng sống tử tế với nhau, dù ở quê nhà hay quê người. Nhưng chính Thiên Kim, một đôi cánh trong đàn chim Việt, đã giúp mẹ cháu viết nên một bài thơ xuôi, mang tên Mây Vẫn Còn Bay, khiến người đọc như tôi hết sức bồi hồi. Cảm động trước một tình mẫu tử vừa thiêng liêng, vừa cao đẹp. Nơi mà người mẹ bị cuốn hút vào trăm công ngàn việc của cuộc sống tỵ nạn, thể nhập và đấu tranh; có việc cần phải làm gấp, có việc nên làm và có việc chưa cần lắm, để cuối cùng mang trong lòng một niềm ân hận khôn nguôi: "Con mình đã mất tiếng Việt!". Dường như mẹ cháu, nhà văn Việt Dương Nhân, chỉ mới tiếc cho năm mươi phần trăm gốc Việt nơi Thiên Kim mà bà đau lòng như vậy; nói chi các bậc cha mẹ khi thấy con mình, Việt ròng mà mất gốc, thì sự áy náy hẳn sẽ vô cùng mạnh mẽ hơn? Con cháu, của những người Việt nặng lòng với quê hương, bản quán, mà lại không ăn một món ăn Việt nào, không nói được tiếng Việt, không viết được chữ Việt, nếu học cao bất quá họ trở thành các chuyên viên, các nhà trí thức Anh, Pháp, Mỹ, Đức, Na Uy... gốc Việt; trong khi các bậc sinh thành ao ước họ trở thành các nhà trí thức, các chuyên viên Việt Nam ở nơi đất khách. Những cuộc rời làng, xa nước nào mà không có sự hy sinh, mất mát? Có những thứ mất đi, của đời làm cha mẹ, để đổi lấy sự tự do, no ấm và học hành cho chính mình và trên hết là cho con cháu. Nhưng mất luôn cả "tâm hồn Việt" thì mục đích ban đầu "vì tương lai của thế hệ sau" cuối cùng sẽ chỉ là niềm tiếc hận mãi?
Thiên Kim thân mến, cháu và những ai như cháu, tìm về tiếng Việt là tìm về với người Việt, trong đó có mẹ cháu, là tìm về nước Việt, nơi cháu đã được sinh ra, nơi mà dòng sữa của mẹ cháu có cả mùi gạo hẩm, cơm ôi, lẫn mùi thơm của gạo Tám Thơm, Nanh Chồn, Nàng Hương; nghĩa là có cả đau khổ lẫn hạnh phúc.
Cảm ơn cháu, Thiên Kim ạ, tâm hồn cháu như phù sa sông Cửu, đã bồi thêm đất hạnh phúc cho mẹ, cho nhiều người khác, trong đó có tôi; với hành trình ngôn ngữ Việt, của cháu từ năm lên sáu, đứt quãng rồi nối tiếp không dễ dàng, tới năm ba mươi tư tuổi, giả dụ chỉ với một câu: "Con thương má nhiều lắm!!", bằng chữ Việt nguệch ngoạc của cháu, cũng đã là một câu thơ; và với tôi, nó trở thành bài thơ vì hai cái chấm than (!!).
Tôi, may mắn thay, đã được đọc vài bài thơ cháu viết bằng Pháp văn, trôi chảy và trong sáng, hàm chứa một Tấm Lòng yêu con người và cuộc sống. Mấy bài thơ đó hay, nhưng chưa làm tôi xúc động bằng những câu của Thiên Kim, một người con chúc mẹ năm mới sức khỏe, may mắn và hạnh phúc. Lời chúc, nghĩ cho cùng, chính là tên gọi khác của ước mơ. Mơ ước đẹp của Thiên Kim, mà cô giáo Phương Khanh đã ghi lại: ''Em hỏi Kim học tiếng Việt để làm gì? Kim trả lời, học chữ Việt để đọc sách của chị và muốn biết những gì chị viết...''. Cảm ơn những thầy cô giáo tiếng Việt ở nơi đất khách, mất bao thời giờ, công sức đôi khi cả tiền bạc riêng tư, chỉ để nhận lại một niềm vui toát ra từ những trang vở học trò: "Hãy nói và viết tiếng Việt như ăn Phở, như ăn Chả Giò, tự nhiên như tình yêu của người Mẹ Việt giành cho mình". Nhiều người nước ngoài còn đi học nói và viết tiếng Việt. Cao hơn nữa, họ còn dịch sách Việt qua ngoại văn, chuyển Truyện Kiều sang Đức ngữ, Anh, Pháp văn; có người còn vào Thư viện Quốc Gia Pháp để tìm cho ra những tác phẩm của Vũ Trọng Phụng chưa in thành sách; có là người Việt hay không, chưa hẳn đã tùy thuộc vào việc nói sõi tiếng Việt và viết rành chữ Việt! Là hay không là, người Việt, ở chỗ có tìm về tiếng Mẹ Đẻ hay không. Không gần gũi với Tiếng Mẹ Đẻ thì dễ dàng xa cách với Tình Mẹ? Không nhất thiết đều là như vậy... Nhưng chắc chắn, theo những gì tôi thấy được ở cuộc sống, sẽ không có một tình Yêu Nước gắn bó và nồng nàn!
Thiên Kim thân mến, trong các bài thơ của cháu mà tôi được đọc, nhiều, rất nhiều câu hay, bởi "văn hóa là sự hợp tác", như:
"...Nous nous aimons
C'est la seule loi
A laquelle nous obéissons
Et nous sommes libres
De notre choix
Toi et moi,
Unis pour la vie!.."
(Trích "Je t'ai attrapé" của Kim Agnès Hiver.)
Tôi đã tạm thoát dịch, theo cảm nhận, được gói tròn như sau:
Nguyện theo một luật Thương Yêu
Đời ta hòa hợp với nhiều tự do.
Thiên Kim thân mến, lẽ ra tôi phải viết một bài Bạt cho cuốn sách Đàn Chim Việt này về tác phẩm hoặc tác giả, theo đúng nghĩa một bài viết ở sau mỗi cuốn sách, nhưng chính mẹ cháu đã tự viết Bạt rồi, qua bài Mây Vẫn Còn Bay, người đọc đã thấy ở nơi mẹ cháu một tình thương nước, xót người đầy nỗi đau khổ: "Mình làm mẹ mà con mình không biết nói được tiếng của mình. Thật là đáng trách!'' và với niềm hạnh phúc: ''Không, không. Con không quên đâu Má ơi!’’. Không quên là có nhớ, nhớ đến lời ru, tiếng nựng của mẹ khi mình còn thơ ấu, nhớ đến giọng nhắc nhở, la rầy của mẹ khi mình lớn lên cùng với nhiều sai sót vô tình hoặc cố ý. Thế nên, cách yêu mẹ hay nhất là yêu Tiếng Mẹ Đẻ, có thể Thiên Kim và ai đó chưa chia sẻ với tôi về cách nói trên, tôi vẫn xin cảm ơn tất cả, mà trước hết là cảm ơn "Ngàn Vàng", Thiên Kim Agnès Hiver !

Nguyễn Thị Vinh
Na Uy Oslo, mùa Tuyết, tháng 1, năm 2004. 





Thứ Ba, 22 tháng 5, 2012

Les lecteurs de partager les sentiments à Thien Kim

Độc giả cảm nghĩ và chia xẻ với Thiên Kim.
"Les lecteurs de partager les sentiments à Thien Kim"
(Google traduction en française)

Thiên Kim Angès HIVER (Paris 6/2010) 
***
Chị VDN mến,

Xin thành thật cám ơn chị đã gửi đến cho Cộng Đồng những vần Thơ tuyệt vời của Thiên Kim Agnès, Ái nữ của chị !!!
Theo VCH, Thiên Kim không có bị bịnh tâm thần mà phải nói đúng hơn là môt nhà triết lý đã bị cuộc đời cướp mất đi một người yêu thương nhất.
Cô đang sống trong một nỗi buồn vô tận mà chỉ có một ngươi duy nhất mới thấu hiểu và người đó đã ra đi vĩnh viễn không bao giờ trở lại !

Có lẽ khi ta không còn nghe nhịp thở của con tim,
Có lẽ khi ta đã đánh mất một phân nửa tâm hồn,
Có lẽ khi ta không còn một niền tin trong cuộc sống,
Có lẽ khi ta đã đi đến tận cùng của đau thương,
Có lẽ khi ta đã đi đến tuyệt đỉnh của nhung nhớ,
Có lẽ khi ta đã không còn thấy sự khác nhau giữa sự sống và cái chết,
Có lẽ khi ta đã không còn phân biệt được quá khứ, hiện tại và tương lai...
Thì tất cả đều đã trở thành... vô nghiã !
Những vần thơ đó phát xuất thật vô tư, dạt dào khơi dậy từ trong tiềm thức, tuôn tràn như một mạch suối đang đi tìm một dòng sông, một dòng sông ... ký ức !!!
VCH
27/03/10

"Madame VDN,

Sincèrement merci a été adressé à la poésie merveilleuse communauté de Thien Kim Agnès, votre fille!
Selon VCH, Thien Kim n'a pas mentalement, mais plutôt une philosophie de vie a été volé perdu un être cher.
Elle vit dans une tristesse infinie que seule une personne seule peut comprendre et qui nous a quittés, plus jamais!

Peut-être quand on n'entend plus la respiration du cœur,

Peut-être quand nous avons perdu une demi d'âmes,
Peut-être quand nous ne sommes plus une confiance dans la vie,
Peut-être quand nous sommes allés à la fin de la souffrance,
Peut-être quand nous sommes allés au sommet de l'esprit de velours,
Peut-être quand nous ne voyons plus la différence entre la vie et la mort,
Peut-être quand on ne distingue plus entre passé, présent et futur ...
Ils sont tous devenus ... un non-sens!

Ces versets vient la vraie innocence, démonstratif évoqué de l'inconscient, comme un vaisseau flux débordant allez trouver une rivière, un fleuve ... souvenirs!" (Google traduction)



***

PN xin gửi đến Thiên Kim những chia sẻ về nỗi đau mang nặng trong tâm hồn. Phải chăng sức chịu đựng khi mất đi một niềm yêu thương đã thúc đẩy TK tạo nên những vần thơ tuyệt vời ?. Đọc thơ của TK tôi bắt gặp những xót xa, cay đắng cho một tình yêu chợt tắt khi đang ấm nồng, là tiếc nuối mênh mông cho sự xa lìa vĩnh viễn chưa phải lúc. Thơ TK là một níu kéo , cưỡng lại , là sự phản khán không chấp nhận mất mát nhưng số mệnh đã cướp đi của TK, một thiên thần gánh nặng khổ đau kia, chất liệu sống một cách nghiệt ngã...Thật buồn.Chúc Thiên Kim luôn tâm an cùng lời cầu nguyện trên cao từ bi gia hộ.
Chúc VDN luôn hướng công đức mình xin hưởng phước lành đến người con yêu thương.
PN.



"Thien Kim PN doivent être envoyés à partager la douleur dans mon cœur accablé. Est-ce l'endurance tout en perdant un être cher, poussé savoirs traditionnels fait de la grande poésie?. Lecture de poésie savoirs traditionnels, je suis tombé sur ces plaintes, l'amour amer soudainement éteint pendant un certain temps chaud, est immense regret pour la permanente fuit pas le temps. Savoirs traditionnels est un poème tiré résister, c'est la perte inacceptable la réaction du public, mais le destin a pris des savoirs traditionnels, un ange du fardeau de la souffrance d'autres, matériau vivant dans un environnement rude ... C'est triste.
Les bénévoles avec Kim toujours considérer un ménage prière élevée de compassion.
VDN Bonne toujours mériter leur bénédiction pour les gens qui prétendent m'aimer.
PN." (Google traduction)



___________________
Niềm vui dâng tặng cho đời
Nỗi buồn xin gởi mây trời mang đi.
vdn




Le bleu ! - Agnès Thiên Kim HIVER

Le bleu !

Le bleu !
Je cours vers toi
Sans savoir qui tu es vraiment
Je cours vers le Ciel
Je m’élève
J’aime galoper comme ça
Dans le bleu
J’aime voler avec toi, Pégase !
La fille c’est moi
Dessus je te mène
A travers tout
C’est un voyage
Un rêve
Une fois, deux fois, à l’infini
Ça se passe comme ça
Toujours la passion
Elle est là, elle ne cesse !
Ma liberté !

Agnès Thiên Kim HIVER
Août 2003



Thiên Thanh !
Thiên Thanh !
Ta phóng lao tới ngươi
Chẳng biết ngươi là ai !
Ta phóng lên, lao tới chân trời,
Ta muốn như mi, hỡi ngựa thần Pégase,
Tứ vó câu...
Bay nhảy trong vòm Thiên Thanh !
Ta sẽ cùng mi,
Rong chơi, du ngoạn trời cao
Mộng mị vô tận...
Như vậy mãi mãi,
Niềm « Tự do vô tận ! » của riêng ta !


Agnès Thiên Kim HIVER
Août 2003
(Chuyển ngữ Marie Colmobe Bạch Thị Ngọc Sương 2/2009)



La force - Agnès Thiên Kim HIVER

La force
Malgré son infirmité
Il porte la force du monde entier !
C’est un rebelle !
Il ose défier son mal,
Le malheur de sa vie
Sa force le redresse
Et sa tête marche
Son courage est exemplaire
Si rare, si fort
Est cette volonté de vivre
C’est une force de la nature
Ses jambes, hélas, ne marchent plus !
Mais il marche vers les autres,
Il veut vivre, il ne s’arrête pas
Son mental ne faiblit pas.
Pour moi, il est l’un des plus fort
L’un des plus courageux.
Je l’admire, et je pleure pour lui, car il n’a pas eu de chance.
Le courage c’est lui, c’est sa force !

Agnès Thiên Kim HIVER


Tên « Lực »


Dù cho tật nguyền,
Hắn mang gánh nặng của toàn cầu !
Hắn là con người ngoan cố,
Không sợ đương đầu với đớn đau,
Vác đớn đau của cuộc đời...
« Lực » ta gắn sức sừng sững...
Ngẩn mặt đương đầu với trời đất,
Hắn là con người dũng cảm,
Mạnh phi thường,
Sức mạnh chí quyết :
« Ta muốn sống ! »
Tuy hai chân bại hoại, không còn cử động,
Nhưng hắn vẫn gượng đi tới bạn bè,
Hắn gắng sức « sống ! »...
Không ngừng bước.. vẫn bước tới !
Hắn là con người đầy « Nghị Lực ».
Con người chí quyết, can đ ảm !
Tôi cảm phục, buồn cho số phận không may !
Tên « Lực » !

Agnès Thiên Kim HIVER
(Chuyển Việt Ngữ Marie Colmobe Bạch Thị Ngọc Sương 2/2009)



L’ Église - Agnès Thiên Kim HIVER

L’ Église
Dans ma chambre d’hôpital,
J’entendis l’orgue !
C’était la Messe du dimanche à la Télé
La musique de l’orgue !
Elle est venue me secourir dans ma détresse !
J’avais la peur qui me glaçait les veines
Qui me prenait la vie !
Mais tu es arrivée soudainement
Tu m’as enveloppée d’amour
Tu m’as sauvée !
Musique du Ciel
Oui, tu viens du Ciel
J’entendis cet appel, ce signal
Je n’avais plus peur de la vie !
Apaisée, tu m’as nourrie de ta mélodie,
De ta beauté enchanteresse
Je mourais de peur
Maintenant, je sais que tu es là
Tu m’accompagnes partout
Es-tu mon ange ? mon Seigneur ? Mon gardien ?
Tu me protèges et je n’ai plus à avoir peur !

Agnès Thiên Kim HIVER
Mercredi 23 juillet 2003


Thánh Đường

Trong một căng phòng bệnh viện,
Bỗng nhiên vang lên tiếng đàn !
Thánh lễ missa, trên đài truyền hình,
Nhạc thiên thai !
Lễ nhạc đến cứu ta trong cơn nguy biến !
Cơn hãi hùng lồng lộng, làm gân cốt ta giá băng...
Hốt cả tâm hồn, đời sống của ta !
May thay ! Nhạc, mi đến với ta !
Mang cho ta sức ấm tình yêu...
Mi cứu ta !
Nhạc thiên thai...
Mi là Thiên Sứ cứu ta !
Nghe tiếng người kêu gọi,
Ta không còn sợ đời nữa !
Người ru ta với tiếng hát thần tiên,
Ta chiêm ngưỡng hương sắc tuyệt vời,
Ta đang chìm trong cơn sợ hãi,
Bây giờ, có Người bên cạnh ta,
Người dẫn dắt ta muôn ngã,
Người là ai ? Có phải là Quân Sư, thần hộ ta chăng ?
Người gìn giữ ta, ta không còn phải hoảng sợ !

Agnès Thiên Kim HIVER
Mercredi 23 juillet 2003
(Dịch Việt ngữ M-C Bạch Thị Ngọc Sương)




Un jour - Agnès Thiên Kim HIVER

Un jour
Un jour de vacances d’été, dans le jardin,
J’ai vu mon amie malade :
Elle m’a semblé parler aux feuilles
Elle semblait parler aux plantes
Elle aimait cette vie peut-être ?
Verte, fleurie.
Cette vie végétale et silencieuse
Elle parlait à quelqu'un peut-être
Car elle se sentait seule peut-être
J’ai senti une conversation
Comme un espoir à la vie pour elle, mon amie
Un futur pour elle, guérie.

Agnès Thiên Kim HIVER
Mercredi 23 juillet 2003


Ngày Kia

Ngày kia, mùa hè, trong mảnh vườn,
Tôi nhìn cô bạn bệnh hoạn,
Đang nhìn cây cỏ thẫn thờ...
Hình như cô ấy đang trò chuyện với cỏ cây
Cô ta thích thú, hưởng thụ với đời sống
Cỏ xanh mát, hoa thắm tươi,
Cuộc đời cỏ hoa êm ả, yên vui
Cô ta đang trò chuyện với ai vậy ?
Có thể cô cảm tưởng lẻ loi,
Tôi nghe như có một câu chuyện
Tràn đầy hy vọng cho cô bạn tôi,
Rồi đây, có ngày nào đó,
Cô bạn tôi sẽ hồi phục,
Không còn bệnh hoạn.

Agnès Thiên Kim HIVER
Mercredi 23 juillet 2003
(Dịch Việt ngữ M-C Bạch Thị Ngọc Sương)

Le chemin - Agnès Thiên Kim HIVER

Le chemin
Avec ton fardeau, tel un chemineau,
Tu traverses la vie, tu gravis les obstacles,
Tu marches vers le chemin de la lumière avec peine,
le chemin qui te mène vers la porte du bonheur : la voie de la guérison.
De mon côté, je fais le chemin d’une autre manière,
D’un autre endroit.
Moi aussi, j’ai souffert, je suis descendue en enfer...
Je m’en sortirai de toutes ces douleurs, de tous ces malheurs qui m’ont lacérée.
Mais je ne perds pas l’espoir ! la force, tout comme toi, cette force de vivre !
Quelque part, le bonheur existe et je trouverai, moi aussi, la voie de la guérison.
Puis, nous allons conquérir le monde !
La chance nous sourit maintenant !

Agnès Thiên Kim HIVER
Mercredi 2 juillet 2003



Đường đi

Bạn là người đi đường, mang cả một gánh nặng,
Bạn trải qua cuộc đời, chuốt chải, bôn ba,
Bạn lao lực, gắng đi con đường tới ánh sáng
Lết qua ngưỡng cửa, bước tới hạnh phúc,
Trở về, bước tới phục hồi.
Phần tôi, tôi đi khác ngã.. Đường đầy đau thương
Con đường của tôi lao xuống tới địa ngục...

Tôi sẽ vươn qua khỏi tất cả các cuộc thương đau,
Đau thương làm tôi nát tan.
Tôi nhất quyết không mất hy vọng !
Niềm tin, như bạn, sức lực niềm hy vọng... Ta sống !
Niềm hy vọng nằm ở một nơi nào đó !
Rồi ta và bạn cùng nhau tìm lại ngày Phục Sinh.
Chúng ta sẽ cùng nhau chinh phục dương gian !
Vận của chúng ta hôm nay số đỏ rồi !

Agnès Thiên Kim HIVER
Mercredi 2 juillet 2003
(Dịch Việt ngữ M-C Bạch Thị Ngọc Sương)



La fumée (Ngụm Khói) - Agnès Thiên Kim HIVER

La fuméeMon ami, il est malheureux :
Il fume trop !
Mon ami, il fume :
Il est malheureux !
Je voudrais l’aider,
Je voudrais qu' il s’en sorte
Mais il fume...
Sa fumée dit qu' il est en ruine !
Elle l’enfume, elle le consume !
Le feu à l’intérieur s’éteint
La fumée éteint son feu !
La fumée fait partir en fumée sa vie...
Il s’accroche à la fumée
La fumée l’accroche
La mort vient à petits feux
Je voudrais le libérer de sa noirceur,
Lui redonner espoir à la vie, mais comment ?
Je suis une amie qui se soucie de lui.

Agnès Thiên Kim HIVER
Vendredi 13 juin 2003


Ngụm Khói

Bạn tôi mang một nỗi buồn
Khói ơi là khói !
Bạn tôi phì phà, liên miên...
Mang nỗi đau triền miên !
Làm sao giúp bạn tôi
Đem bạn tôi ra khỏi niềm đau
Khói ơi là khói...
Tại sao mầy hại bạn tao !
Mầy vò xé, vùi lấp thân hình nó...
Làm cho khí khái, tâm linh nó chết đi !
Ngụm khói dập tắt lửa lòng của bạn tôi !
Đánh tan cuộc đời nó, bỏ trôi theo khói...

Bạn tôi đeo đuổi theo làn khói,
Vòng khói khóa cùm đời bạn tôi,
Đốt tan bạn tôi.. ra từng mảnh !
Tôi muốn xóa tan vết khói đen tối...
Làm sao bạn tôi hy vọng trở lại với cuộc đời ?
Một người bạn tận tâm với bạn mình.

(Dịch Việt ngữ M-C Bạch Thị Ngọc Sương)



Thiên Kim (1982)


Thiên Kim (1982)




La prière. - Thiên Kim Agnès HIVER

La prière.
N’hésitez pas à prier, au moins une fois par jour. Cela procure du bien-être, de la paix intérieure. Vous pouvez prier pour quelqu' un que vous aimez, pour les autres ou pour vous-même. Dans la prière, vous demandez au Seigneur-Dieu d’exaucer vos vœux, vos prières, vous intercédez pour les autres, même pour des gens que vous ne connaissez pas personnellement.
N’hésitez pas, c’est une nécessité de prier, cela apporte toujours quelque chose de positif. Vous êtes quelqu'un qui pense à son prochain.
« Aimez-vous les uns les autres ! » a dit Jésus-Christ.

Thiên Kim Agnès HIVER

Pauvres et riches - Thiên Kim Agnès HIVER

Pauvres et riches
.


Les riches et les pauvres se détestent.
Les riches ne peuvent pas comprendre ce qu' est la privation, le manque.
La facilité fait partie de leur quotidien. Ils obtiennent toujours les objets qu' ils désirent. Un pauvre face aux problèmes matériels, aura plus de force, d’endurance car il est habitué à ce genre d’efforts. Un riche, s’il tombe dans la misère matérielle, s’y noiera plus facilement. Il n’est pas habitué à ce genre de problèmes.

Thiên Kim Agnès HIVER


Elle ! - Thiên Kim Agnès HIVER

Elle !


Tout ce qu’ il lui appartient, autour d’elle, sont des objets inanimés, sans vie.
Malheurêusement, elle ne se rend pas compte de sa pauvreté, đe sa misère d’être toute seule, de ne pas savoir se faire des amis.
Elle est seule, et bien seule.
D’accord, les objets l’accompagnent, mais ils n’ont pas de cœur, ni d’âme.
Elle est seule avec ses objets dans la pauvreté absolue d’être démunie d’amour d’autrui, đémunie de l’essentiel :
L’amour et l’amitìé.
Je parle d’elle car elle est si perđue dans son monde ; je la connais et je crois être la seule à m’interesser à elle. Je suis sa seule amie, elle n’est pas facile comme amie car son aveuglement l’empêche d’ouvrir son cœur et de donner aux autres. Elle veut tout pour elle, et ne partage pas. Comment nouer une amitìe avec une personne si centrée sur son argent, son matériel. Je dirais qũelle est pas mal avare, et avare en cœur aussi. C’est difficile d’être son amie, je le redis, ce n’est vraiment pas facile de faire tout le boulot de l’amitìe. Une amie qui ne donne pas, qui n’échange guère, est-ce vraiment une amie ?

Thiên Kim Agnès HIVER


J’ai oublié de vivre ! - Thiên Kim Agnès HIVER

J’ai oublié de vivre !
Je me sens seule
Il n’y a personne autour de moi,
Personne à qui parler, à aimer,
Personne pour m’aimer, Hélas !
Je me sens seule
Je suis en manque d’amour
Triste de mon sort
Pourtant je ne fais pas vraiment d’effort
Pour sortir de ce trou perdu !
Impuissante, je ne sais pas réagir
Bercée par les flots des pleurs salées
Soulevée par les vagues des sanglots
Je chavire, je me noie dans les profondeurs de la solitude, de la tristesse
Un tourbillon qui m’entraîne vers le fond, vers l’abîme, la mort, le néant, l’oubli de la vie.

Thiên Kim Agnès HIVER
Février 2004.



Perdue - Thiên Kim Agnès Hiver

Perdue


Je ne suis rien
Qu’une paumée
Dans ce monde pervers
Qui m’est austère
Je ne suis rien
Qu’ une râtée
Dans ce monde de travailleurs, de tricheurs,
Je ne suis rien
Qu’ une âme seule
Parmi ces groupes de gens qui se connaissent
Je ne connais pas ce monde
Je ne comprends pas comment et dans quel sens il tourne
Cela m’inquiète, car je ne comprends pas toutes ces raisons si folles pour moi qu’ ont les gens de se faire mal
Un monde cruel !
Pourtant, tout le monde n’aime pas ça !
Le monde ne se comprend pas.

Thiên Kim Agnès Hiver





Tu es loin… - Thiên Kim Agnès HIVER

Tu es loin…

Ô tu es loin, mon cœur !
Mon amour pour toujours !
J’ai mal au cœur
De te savoir loin de moi
Rien ne t’effacera de ma mémoire
Ton image est posée sur la mienne
Ma main voudrait te toucher, carresser ton beau visage !
Tu me manques tant
Maintenant, je me sens si seule
Sans toi, le goût de la vie devient fade
Mon amour impossible !
Tu es toujours dans mon cœur,
Il n’y a que là où tu peux être.
Je voudrais que mon chagrin s’arrête de pleuvoir
Ce n’est pas possible avec toi, hélas !
Je saigne pour toujours.

Thiên Kim Agnès HIVER




Reste avec moi ! - Thiên Kim Agnès HIVER

Reste avec moi !
Tu veux monter au Ciel ? Pourquoi ? T’en as marre ?
N’aimes-tu pas ce qu’ il y a ici bas ?
Tu n’as pas fini ta vie ici,
Tu es encore bien jeune,
Reste ici avec moi ! Je te le demande !
Sinon je finirai comme toi, au Ciel !
Montre l’exemple, sois courageux,
Fais le travail, le devoir que demande le Très-Haut
Ne brûle pas les étapes
Tu restes, je reste
Tu pars, je pars avec toi
Je ne veux pas rester ici bas sans toi !

Thiên Kim Agnès HIVER
Octobre 2005.




Ce monde de brut - Thiên Kim Agnès HIVER

Ce monde de brut
Pour fuir la réalité
J’ai attrapé la folie, me permets-tu ?
Celle-ci me garde en vie
Dans un autre monde
Celle-ci me permet de vivre
Autour de la réalité
Mais pas à l’intérieur
Je contourne la réalité
Je l’évite pour mon propre bien
Je me sauve la vie
Et j’ai ma folie
En tant que bouclier
En tant qu'armure
Pour me sentir sûre
Protégée des piques, des flammes, des destructions infligées par ce monde de brut.

Thiên Kim Agnès HIVER




Les cicatrices - Agnès Thiên Kim HIVER

Les cicatrices
Les cicatrices de nous, les victimes !
Traces des peines, des tortures infligées
Cruelle est cette vie !
Haine de la vie ! Pourquoi ?
Tu nous a abandonnés !
Punitions, instructions des prisons du mal, le malheur
Enfermée dedans !
Malheur ! Tu me fais peur !
Disparais ! Ou c’est moi qui disparais !
J’en ai marre de la bagarre !
Le tourbillon m’entraîne jusqu’au fond…
Vie, je t’accuse :
Tu as été injuste !
Tu ne m’as pas épargnée !…

Agnès Thiên Kim HIVER



Mon ami - Thiên Kim Agnès HIVER

Mon ami

Cher et tendre ami
Tu étais comme mon fils !
Je t’aimais comme une mère !
Tu es parti trop tôt, hélas !
Tu ne devais pas faire ça !
Tu as gâché tant de choses futures
Tu pouvais vivre mieux
être heureux
Je suis désolée, je pleure
ta mort !
C’était beaucoup trop tôt,
ce n’était pas le moment de mourir !
Tu as rompu avec le lien de la vie !
Tu as préféré la mort,
Pourquoi ? Pourquoi m’as-tu quitté ?
Je ne l’accepte pas !
Je ne cesse de penser à toi, mon être cher.
Mon enfant,
non tu ne devais pas mourir,
il fallait lutter pour vivre
et non lutter contre la vie.
A la vie, tu l’as préféré la mort !
Je ne m’en remettrai jamais de ton sort !
Dorénavant, je vivrai pour toi jusqu’au bout !

Thiên Kim Agnès HIVER
Mardi 29 juillet 2003



La Vérité - Thiên Kim Angès HIVER



La Vérité

C’est lâche de dire que l’on est fort lorsqu' en réalité
On ne l’est pas
C’est un mensonge ou de l’orgueil ?
C’est courageux de dire que l’on est faible
Alors que c’est vrai
C’est de l’humilité et non de la faiblesse
La force c’est de pouvoir dire la vérité dans tous les cas
La force c’est la sincérité
Préférer dire la vérité même si elle n’est pas belle
Savoir reconnaître nos torts
Mais savoir aussi montrer nos qualités
Nos forts !
La force c’est de dire la vérité !

Thiên Kim Angès HIVER
29/7/2006

Ici la Terre ! - Agnès Thiên Kim HIVER

Ici la Terre !


Ô Ciel ! Pourquoi ici la Terre, c’est si difficile à vivre ?
Pourquoi ne pas pardonner notre prochain
Pourquoi ne pas s’associer et former une équipe d’hommes et de femmes pacifiques.
La vie serait mieux si l’on ne regardait pas le matériel.
La vie serait paisible s’il n’y a pas de haine.
Je rêve d’une vie idéale sur Terre.
Je rêve d’ententes, et d’amour. Je rêve de fraternité et de paix.
Je m’inquiète de voir la discorde, le chaos qui mènent à la destruction de l’humanité.
Je ne suis pas née pour gagner de l’argent à tout prix, mais pour que la vie des hommes et des femmes s’harmonisent.
C’est une utopie, je sais.
Les cicatrices.
Les cicatrices de nous, les victimes !
Traces des peines, des tortures infligées
Cruelle est cette vie !
Haine de la vie ! Pourquoi ?
Tu nous a abandonnés !
Punitions, instructions des prisons du mal, le malheur
Enfermée dedans !
Malheur ! Tu me fais peur !
Disparais ! Ou c’est moi qui disparais !
J’en ai marre de la bagarre !
Le tourbillon m’entraîne jusqu’ au fond…
Vie, je t’accuse :
Tu as été injuste !
Tu ne m’as pas épargnée !…

Agnès Thiên Kim HIVER
8 rue du Texel
75014 PARIS

France


Ô Ciel ! - Thiên Kim Agnès HIVER


Ô Ciel !

Le monde n’est pas tout rose,
Tout le monde n’est pas gentil, hélas !
Il y aura des conflits, des ennemis, de l’indifférence totale, de la haine dans ce monde !
J’aurais voulu que tout le monde s’aime mais on ne peut pas plaire à tout le monde.
Il faut accepter ceux qui sont désagréables, mais ne pas se laisser faire tout de même, savoir se défendre… Le Ciel, aujourd’hui, m’a dit d’accepter les gens qui ne m’aimeront pas, qui pourront me détester ou être indifférents à mon égard. Ô Ciel ! C’est dur, je n’étais pas préparée à cela… Mais il faut que j’apprenne ! Je me sentirais plus forte car j’aurais accepté les lois de cette terre et je pourrais vivre libre dans ma tête.

L’AMITIÉ - Thiên Kim Agnès HIVER

L’AMITIÉ



Dans les situations délicates ou graves, on reconnaît les vrais des faux. Il y en a peu, de vrais amis. Chacun en a un ou deux au maximum. On les comte sur les doigts d’une main. Les amis nous tiennent compagnie et on se sent. On peut se confier à eux, leur demander conseil.

Comment reconnaît-on un véritable ami ?

Il est toujours là en cas pépin, il ne nous laisse pas tomber, en aucun cas. Même si on est sans travail, en mauvais santé, avec peu d’argent. Les amis ne sont pas jaloux quand il nous arrive du bien, soit de l’amour, du succès, de l’argent...

On reconnaît un faux ami à sa jalousie et à son hypocrisie. Les amis sont sincères, ils ne nous flattent pas, ils nous parlent loyalement sans arrière-pensées.

Vivre en harmonie ensemble

Il suffit de peu de choses pour se ‘’supporter’’. La tolérance aux défauts de chacun est un bon départ. Il faut laisseer de côté les défauts, ne pas y accorder d’importance. Se fier uniquement aux qualités, a l’amitié, aux contacts humains, à lentente globale ou un acte blessants.

Oublier les propos agressifs, méprisants ou moqueurs est un travail que l’on doit faire continuellement pour être en harmonie ensemble. Les provocations quelles qu’elles soient ne doivent pas être prises au sérieux. Ne répondons pas à cela, car sinon c’est l’engrenage. Ne nous laissons pas impressionner. La meilleure façon c’est d’ignorer l’attaque, être serein malgré tout. Acceptons les gens tels qu’ils sont, ne les rejetons pas.

Etre homes et femmes, l’amour de son prochain est la principale loi pour que règnent l’harmonie et la paix. Ne répondons pas à la violence par la violence, ni à la haine par la haine. Répondons par la tolérance, la compréhension et l’amour d’autrui. Tout en nous aimant, aimons les gens.


Notre fragilité



Dès la naissance, la fragilité nous tombe dessus. Nous vivons mal, nous survivons. Un manque d’amour nous empêche d’exister. Ecorchés par la haine et la douleur, nous n’avons pas su nous valoriser. C’est certain qu’il faut s’aimer, s’entimer pour gagner la confiance et le respectera ? Quelle issue ?

La mort attire, piège, obsède. Quad on a peur de la vie, on la fuit, on court vert la mort. Celle-ci, inacceptable, nous arrange parfois si bien. Tout le monde y a pensé au moins un fois, espéré même. Le courage demande considérablement des efforts, de la maîtrise de soi. L’effort est bénéfique, récompensé.

Thiên Kim Agnès HIVER
20.8.2006

Quand Je t’observe - Thiên Kim Agnès Hiver


Quand Je t’observe
Quand je t’observe
Tu trembles ! Tu sanglotes !
Je ressens ton immense solitude
Le vide autour de toi !
Le désespoir et le chagrin
Se déversent comme une fontaine
De larmes jusqu’à rejoindre l’océan
Si tu le veux
C’est moi qui boirais
Toute cette eau salée
Je sécherais toutes tes larmes
Je t’aiderais à oublier le mauvais temps
Et tu pourras peut-être dire
J’ai trouvé l’âme soeur !

Thiên Kim Agnès Hiver



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(trả lời: Việt Dương Nhân)
Bài số: 22

L'amour (Tình Yêu) - Thiên Kim Agnès HIVER - 8/26/2009 4:56:35 AM
Không có Bài Mới
Việt Dương Nhân
Cao Ốc



Bài: 13473
Từ: Cõi Mộng Mơ
Ngày mai Thiên Kim tròn 40 năm cuộc đời mà đã mang căn bệnh nan y 25 năm trường !!!



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(trả lời: Việt Dương Nhân)
Bài số: 23

L'amour (Tình Yêu) - Thiên Kim Agnès HIVER - 8/27/2009 7:28:43 AM
Không có Bài Mới
Việt Dương Nhân
Cao Ốc



Bài: 13473
Từ: Cõi Mộng Mơ
JOYEUX ANNIVERSAIRE
Chúc mừng sinh nhựt Agnès Thiên Kim
con gái yêu của Mẹ



*

"-) obéir, c’est-à-dire accepter la punition
-) préférer s’exposer aux dangers, à la mort.
(ATKH)


Một, là chấp nhận thưởng phạt, không kêu ca.
Hai, là chống lại, không sợ tai họa, nguy biến."
(BTNS dịch)



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Tes cheveux d’or - Thiên Kim Agnès Hiver


Việt Dương Nhân & Thiên Kim Agnès Hiver
Tes cheveux d’or 

 L’or est dans le Ciel
Sur tes cheveux brille
Une lueur dorée
Comme l’aurore
Descendant du Mont Sinaï,
Couvrant ta face étoilée
De mille gouttes salées
Se perdant dans ta flamme
Or tu sais que sur la Terre
Se trouve un air
Planant sur la mer
Soufflé par ton Père.
Ne ferme pas les yeux
Regarde tes cheveux
Semblables aux ruelles
Éclairées d’étincelles
D’un fleuve d’or pur
Comme une cascade d’eau fraïche
Riche de belles mèches
Pour parer ton cou fragile
Ta voix s’échappera de justesse
Et vibrera avec délicatesse
Pour crier ta promesse
Tu n’auras qu’à remercier le Ciel
D’avoir exaucé
Ton amour sans fin.
Maintenant, aie le coeur d’or
Va denenir quelqu’un
Dans cet espace obscur de boue.
L’or dans tes cheveux
Te guidera vers ta nouvelle mission
Pétillants de joie
seront tes yeux
qui découvriront ce joli pont
au-dessus des lois.

Thiên Kim Agnès HIVER


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La loi des hommes - Thiên Kim Angès HIVER

La loi des hommes


De quel droit juger et condamner ?

Un choix entre deux options :

-) obéir, c’est-à-dire accepter la punition
-) préférer s’exposer aux dangers, à la mort.

On a tous un passé, une histoire, qui nous différencie.

Comment peut-on juger quelqu’un aussi facilement et le condamner ?

Les voleurs, les criminels, nous les punisson. La justice est si mauvaise entre les mains de l’homme : elle ne peut pas être exacte, car l’homme n’est pas totalement intègre et ses limites le réduisent.

Thiên Kim Angès HIVER



Luật nhân gian


Lấy quyền nào để xét án, phán đoán ?
Ta chỉ có hai con đường lựa chọn :

Một, là chấp nhận thưởng phạt, không kêu ca.

Hai, là chống lại, không sợ tai họa, nguy biến.

Mỗi người trong ta đều có một sử tích, phân biệt từng người.

Làm sao mà mình có thể xét đoán, phán án một cách dễ dàng như vậy ?

Ăn cắp, giết người, bắt tội người. Nhân gian nào là công bằng nhân gian : người nào hành được chữ « Nhân », ai giữ được chữ « Nghĩa »...

Thiên Kim Angès HIVER
(Chuyển Việt ngữ Marie-Colombe Bạch Thị Ngọc Sương 29/3/2009)


< Sửa đổi: Việt Dương Nhân -- 3/29/2009 1:52:02 PM >



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(trả lời: Việt Dương Nhân)
Bài số: 19

L'amour (Tình Yêu) - Thiên Kim Agnès HIVER - 3/29/2009 1:13:25 PM
Không có Bài Mới
Việt Dương Nhân
Cao Ốc



Bài: 13473
Từ: Cõi Mộng Mơ
Pouvoir des hommes


L’homme a soi-disant le pouvoir car il possède l’argent. Il se croit tout permis mais son égoïsme le ratrapera et le dévorera.
Il fabrique les billets, il achète le monde il comfond le bien et le mal et ne sait plus les distinguer. Il devient aveugle, il ne voit plus ses défauts, il se croit le meilleur.
Le vrai <> à qui on devrait obéir c’est l’amour.
Quand on aime son maïtre qui nous veut du bien, on aime lui obéir.

L’amour devrait être distribué et partagé à la place de l’argent.

Thiên Kim Agnès HIVER



Quyền Hành


Con người ta khi có tiền, dùng tiền để chuyên quyền. Tưởng rằng mình là tất cả. Nhưng ngày nào đó, hắn sẽ tự hủy vì tiền. Hắn cứ ngoan cố in đồng giấy làm tiền. Hắn dùng giấy bạc, mua nhân gian, không còn lý trí, không còn biết đều phải quấy, không còn biết phân biệt trái ngang. Hắn trở nên mù lòa, không thấy đâu là nhược điểm, tự cao tự đại, cho mình là « Nhất ».

« Thật Hư » của mọi sự quy về hai chữ « Thương Yêu ».
"Quân lợi thần, thần trung quân".

« Nhân, Lễ, Nghĩa, Trí, Tín » tài sản nhân loại, ai ai cũng có thể hưởng dụng thay thế bạc tiền.

Thiên Kim Agnès HIVER
(Chuyển Việt Ngữ Marie-Colombe Bạch Thị Ngọc Sương 29/3/2009)


< Sửa đổi: Việt Dương Nhân -- 3/30/2009 12:23:28 AM >



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COMPORTEMENT DES HOMMES - Thiên Kim Angès HIVER

COMPORTEMENT DES HOMMES


Tout seul, on est faible pour combattre la mort. Le courage est un long apprentissage, la chance est injuste. Elle tombe sur quelques uns...

Le malheur s’ abat, brutal, presque fatal.
Certains obtiennent ce qu’ils n’on pas mérité et c’est l’inverse pour d’autres. Beaucoup cherchent à manipuler sans trop savoir pourquoi, d’autres le savent très bien. La douleur, on connaït, familière, maïtresse de nos faiblesses, de nos détresses.

Devant la peur, soit on fuit sa réalité, soit on la combat.

Thiên Kim Angès HIVER




Hành vi của con người


Đơn chiếc, độc mã khó mà chống với tử thần. Can đảm phải luyện tập lâu dài, số vận bất công. Nó gọi, không cần quan tâm đến người là ai...
Có người đạt được không cần công cán, ngược lại người có công lại không đạt được phần thưởng. Có kẻ mưu mô mà không ý thức lợi hại, kẻ ý thức lợi hại tuyệt không mưu mô. Buồn đau, ai ai cũng đều quen biết nó. Buồn đau chủ nhược, chủ tan hoan.

Hãi hùng, kinh sợ khiến cho con người phải chạy đi lẫn trốn thực tế, nhưng đôi khi ta cũng phải đương đầu nghinh chiến nó.

Thiên Kim Angès HIVER
(Chuyển Việt Ngữ Marie-Colombe Bạch Thị Ngọc Sương 29/3/2009)



Monde cruel ! - Thiên Kim Angès HIVER

Monde cruel !


Encore aujourd’hui, je vois partout des gens piétinés par la cruauté de leurs proches. Ils n’ont rien fait de mal. Pourquoi le sort s’acharne-t-il à les voir souffrir ? Il n’ont pas mérité cela. Ce sont toujours les mêmes bourreaux, les mêmes victimes. Ces derniers font ce qu’ils peuvent pour s’en sortir.

Mais pourquoi reviennent le doute, le chagrin, le désespoir à chaque fois ?

Ils sont été maltraités, manipulés toute leur vie ; que cela cesse ! Leur courage est si gratifiant, honorable. Ils luttent dans ce mode hostile. Ils crient, ils pleurent face au malheur qui leur colle à la peau.

Ce sont des gens précieux que la vie a négligés, des gens respectables comme tout le monde. Ils cherchent le bonheur et ce n’est pas gourmand de leur part car ils le méritent, peut-être plus que les autres.

Thiên Kim Angès HIVER



Đời Tàn Bạo !


Hôm nay, tôi thấy toàn là những người bị những người thân cận dày xéo. Họ đâu có làm gì đâu mà phải bị người đời đọa đày. Tại sao số vận khiến cho họ phải khổ ? Đâu phải là lỗi của họ. Người thua cuộc, không đổi thay. Họ cố vươn ra, nhưng thua thì vẫn thua !
Tại sao buồn đau, tan tóc, tuyệt vọng cùng nhau vẫn tới tấp ?

Họ bị đời bạc đãi, hãy buông tha cho họ đi ! Nhưng họ là con người bất khuất, đầy khí huyết. Họ khóc than, nhưng vẫn phấn đấu, chống cảnh hoạn nạn, khổ đau.

Những người đó bị đời bỏ bê, tuy họ cũng là con người như ai nấy. Họ cũng như ai mong muốn được hạnh phúc. Sự đòi hỏi của họ, có gì đâu là quá đáng, họ có quyền hưởng như tất cả mọi người.

Thiên Kim Angès HIVER
(Chuyển Việt Ngữ Marie-Colombe Bạch Thị Ngọc Sương 29/3/2009)


< Sửa đổi: Việt Dương Nhân -- 3/29/2009 1:46:40 PM >



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Les envieux - Thiên Kim Agnès HIVER

Les envieux


Ils veulent ressembler à mieux qu’eux. Ils recherchent l’image le plus valorisante, celle qui plait.

Une femme enviera une autre femme pour sa minceur, sa beauté ou son intelligence. Un homme enviera un autre homme pour son pouvoir, sa compétence, sa jeunesse etc...

Ils ne sont pas satisfaits d’eux-mêmes. Le regard qu’ils posent sur l’autre est un regard d’envie et peut se transformer en jalousie. Ils veulent convoiter la femme ou l’homme de leur prochain, convoiter les biens matériels. L’argent, la jalousie, la haine les stimulent, les font vivre.

Ce sont des <>, peut-être les pires car ils ont la plus complexe des intelligences terrestres. Ils manipulent, ils calculent, ils tuent pour être le meilleur, l’unique. Leur piège se retourne parfois contre eux. L’avenir est une réalité chez eux.

Thiên Kim Agnès HIVER


Thèm Muốn


Hắn ta khao khát được là « ta đây ! ». Hắn ta thèm muốn mang hào quang, được người đời ca tụng, vinh danh.

Đàn bà sẽ ganh ghét đàn bà tài sắc, trí tuệ. Ông thì tranh đua quyền hành, tài sản, sức lực trẻ trung..v..v..

Họ không bao giờ cho là đủ ! Họ lúc nào cũng ngó người khác với cập mắt thèm muốn, đôi khi ganh ghét, ghen tuông. Họ ham muốn cướp giựt chồng vợ, tiền tài dù cho là bạn bè, thân tình. Tiền tài, tham vọng, cướp giựt, tranh giành là những động cơ, sức mạnh, sự sống của họ.

Họ đáng sợ, họ dùng trí khôn xảo quyệt để mưu mô, để đi tới mức đạt được địa vị độc đáo, chuyên quyền. Nhưng lắm khi, họ bị chính cái bẫy của họ giết họ. Tương lai đối với họ là việc hữu sự.

Thiên Kim Agnès HIVER
(Chuyển Việt Ngữ Marie-Colombe Bạch Thị Ngọc Sương 29/3/2009)



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(trả lời: Việt Dương Nhân)
Bài số: 14

L'amour (Tình Yêu) - Thiên Kim Agnès HIVER - 3/29/2009 12:34:30 PM
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Việt Dương Nhân
Cao Ốc



Bài: 13473
Từ: Cõi Mộng Mơ
Notre Maladie


Notre maladie fausse tout. Vous croyez votre perception, et votre jugement juste, il n’en est rien. Il est difficile de dissocier notre maladie de notre vraie personnalité.
Ne nous jugez pas trop vite, prenez le temps de bien nous connaître. Cherchez plutôt à nous comprendre.
Nous avons des sentiments comme vous, de la tristesse, de la joie, de la peur... et nous aimons aussi.
Soyez indulgents. Notre fardeau est déjà si lourd. Aidez-nous un peu à le suporter.

Thiên Kim Agnès HIVER


Bệnh tình


Bệnh tình thay đổi tất cả. Cảm giác, suy xét tưởng ra là đúng... Không ! Không phải vậy đâu ! Khổ nỗi, không thể tách bệnh tình ra khỏi tính cách cá nhân.
Ai ơi, đừng quá vội tuyệt tình, kết án. Nên tìm hiểu người bệnh. Người bệnh cũng như tôi và anh, và chị, các cô bác. Người bệnh vẫn còn tình cảm, buồn vui kinh sợ... cũng như tình yêu mãnh liệt.
Hãy thông cảm cho người bệnh hoạn. Gánh vác nặng nề, xin đưa tay, giúp người bệnh hoạn qua cầu đau thương.

Thiên Kim Agnès HIVER
(Chuyển Việt Ngữ Marie-Colombe Bạch Thị Ngọc Sương 29/3/2009)


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Niềm vui dâng tặng cho đời
Nỗi buồn xin gởi mây trời mang đi.

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(trả lời: Việt Dương Nhân)
Bài số: 15

L'amour (Tình Yêu) - Thiên Kim Agnès HIVER - 3/29/2009 12:41:50 PM
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Việt Dương Nhân
Cao Ốc



Bài: 13473
Từ: Cõi Mộng Mơ
Souffrance psychique


Les profondeurs de l’abime ressurgissent encore une fois ce soir. Cette attirance incontrôlable vers le malheur, la souffrance ne m’abandonne pas, cette passion que je n’aime pas non plus.

Je continue, malgré moi, vers ma propre destruction. Ce tunnel sans fin m’a pris au piège. La machine infernale s’est mise en marche, elle ne s’arrête plus, je ne peux plus freiner. Son reflet est le visage de la mort, sadique, impitoyable. Son rire glacé fait peur.

L’enfer s’est emparé de ma vie, la dirige. A chaque lueur d’espoir, il se moque et me rappelle que je suis maudite, vouée à l’échec perpétuem. Depuis le jour où l’ai croisé sa route, je n’appartiens plus qu’à lui.

J’ai la gorge serrée. Je ne peux plus parler. Les larmes me brulent. Mon sang cogne.
La colère de vivre ! Le désir de mourir ! Pourquoi cette haine, cette rage ?
Je suis lasse de combattre. Assez ! Épargnez-moi la torture et achevez moi une fois pour toute !

Je veux dormir dans le lit de la douce mort. Qu’elle me berce tendrement et je m’endormirais dans ses bras.

Thiên Kim Angès HIVER


Nội thương


Thăm thẳm, vực sâu chiều nay, một lần nữa kêu réo gọi tôi không ngớt. Tan thương vẫn đọa đày, dày xéo không tha cho tôi.

Sức nào vẫn thúc đẩy
tôi đến tự hủy tôi. Con đướng hầm đưa tôi vào trong hang, không một lối thoát. Tôi cứ phải lao tới, không dừng lại được. Tử thần không chịu buông tha, cứ mãi đeo đuổi theo tôi, tiếng cười lanh lãnh vang lên khủng bố con người tôi.

Đời tôi bị hắn giam cầm. Mỗi khi, tôi tìm thấy một tia hy vọng, thì hắn lại hiện hình, bảo tôi là con người thất thế, không một tương lai. Tôi là người thuộc về hắn. Tôi bị hắn cầm buộc, từ ngày không may, tôi gặp hắn trên con đường đời.

Tôi nghẹn ngào, không nói ra lời. Nước mắt chan chứa, mạch máu nóng bừng.

Giận cho cuộc sống ! Ta muốn hủy đi ! Tại sao bao nhiêu hận thù, ghen tức đè nghẹn tôi ? Tôi mệt lả rồi ! Xin buông tha tôi đi ! Hãy giết tôi đi, một lần cuối cùng !

Tôi muốn nằm xuống ngủ một giấc thiên thu, an nhàn, trong giấc mộng mơ.

Thiên Kim Angès HIVER
(Chuyển Việt Ngữ Marie-Colombe Bạch Thị Ngọc Sương 29/3/2009)


< Sửa đổi: Việt Dương Nhân -- 3/29/2009 1:43:34 PM >



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